La foule crie et je ne sais plus pourquoi. Tandis qu’il me paralyse d’une clé de bras, tous les tatouages et toute la volonté et toutes les clameurs et tous les muscles du monde n’y pourront rien : le combat est gagné d’avance.
C’est à ce moment-là que se rompt ma première cervicale. Maintenant, je sais pourquoi la foule crie.