Filer sur la Grande Corniche dans un cabriolet Fiat Spider Dino 1968 et son V6 deux litres aurait remis n’importe qui de bonne humeur. La brise de fin d’après-midi se mêlait aux arômes de cuir, de bois et de mécanique vrombissante. Chaque virage insufflait de l’adrénaline pure dans les cent soixante chevaux.
C’était la fin de l’été mais Nathalie et moi n’en étions qu’au début. Nous allions boire des monacos avec la bande du port.