Imola, 1er mai 1994 et j’ai chaud. Michael Schumacher me colle aux basques dans sa Benetton Formula. Septième tour du Grand prix de San Marin. Le virage de Tamburello à la corde, puis à l’extérieur. La colonne de direction se brise. La Williams-Renault roule tout droit. Mes pneus glissent. Et ce mur arrive trop vite.
Je ne verrai pas le muguet cette année.